Une autre approche de l'intelligence artificielle

Bonjour (édit, merci @Tonio-APEIF )

Un petit message à propos de l’I.A. et histoire de laisser une information sur une étape qui a été franchie ces dernières semaines je viens de publier un petit article et vous y trouverez une petite illustration de l’utilisation de l’I.A. avec les tickets de carburant des notes de frais …

Certes il serait possible d’aller beaucoup plus vite en utilisant des IA « gratuites » ou « quasi gratuites » proposées par les GAFAM du secteur mais nous avons toujours la même approche face à ce genre de choses : libre et sans entourloupes.

De l’intelligence artificielle … oui mais à notre manière ! – Cap-REL*

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Ça n’empêche pas la politesse cher @erics :crazy_face:

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Salut Eric,
Chouette article et chouette travail. Ca promet de belles choses.
Mais en regardant la vidéo, une question m’est venue à l’esprit : Avec la facturation électronique, comment cela va se passer pour les stations essences ? Est-ce que le pompiste ou l’automate vont nous les envoyer par mail ? (je n’ai pas cherché) Si oui, alors nous aurons à disposition les métadonnées associées à la facture et il n’y aura peut être pas besoin de l’IA pour « lire » le ticket ?
Par contre, à n’en pas douter, cette utilisation de l’IA pourrait être intéressante pour traiter tout un tas d’autres documents.
Merci pour tes recherches et ces explications.

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Hello @akene
je suis persuadé que ce que je fais « ne sert à rien » (façon de parler sur du moyen/long terme en tout cas) et c’est la toute la subtilité de l’histoire, ce qui m’importe n’est pas le résultat concernant les tickets ou les factures (j’ai la même approche pour scaninvoices), ce qui m’importe c’est de prendre un exemple concret clair et facile à appréhender pour monter en compétence sur l’outil … car une fois qu’on saura vraiment faire proprement tout il sera alors question de s’attacher à des problème différents :slight_smile:

Bonjour,

Il faudra très vraisemblablement passer par le système des « cartes carburants » destinées aux professionnels pour obtenir une facture électronique, et donc avoir un compte ouvert chez un ou plusieurs fournisseurs de carburant.

La question va également se poser pour quantités de fournisseurs susceptibles de vendre à des professionnels (boulangeries et nombreux autres petits commerces).

Ou par un truc comme ça : eTicket - ticket électronique PDF et QRCode client histoire de faire de l’autopub :slight_smile:

J’ai vu des bornes « distributeur de café » qui proposent de flasher un qrcode pour télécharger le ticket … pour l’instant le ticket n’était pas factur-x mais dans une prochaine « version » de la loi concernant la facture électronique les tickets seront peut-être concernés ?

Ça me fait penser que normalement le module factur-x que je propose, associé au module « ticket dématérialisé » produit un ticket PDF au format factur-x « niveau zéro » … dolibarr est prêt …

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Il ne faut pas le numéro TVA et/ou SIREN/SIRET du vendeur ET du client dans la future facture électronique ?

Salut Eric,
J’avais bien compris le côté recherche fondamental pour le plaisir, je te rassure, et je vois bien tout ce qu’on pourrait faire avec ce genre de jouets, mais mon côté pragmatique m’avait fait penser à cet aspect ticket electronique

Bonjour,
je ne résiste pas, je partage ce petit moment de bonheur tinté d’incrédulité … i did it !

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Et une grosse semaine de boulot plus tard … ça arrive dans ScanInvoices :slight_smile:

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Hello,

Si jamais, pour les développeurs, il y a une offre un peu moins problèmatique du côté d’infomaniak.

A plus

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@daraelmin … c’est une possibilité technique offerte par beaucoup d’hébergeurs néanmoins qui dit API dit « données envoyées vers … » et le … après vers est une question de confiance en ce que dit la personne qui produit la documentation.

Si en plus l’infra qui offre l’API n’est pas composée 100% de logiciels libres nous ne pouvons pas auditer celle ci et vérifier qu’elle fait bien ce qu’elle est sensée faire (et rien d’autre).

Dans le cas de infomaniak ce qui peut poser question est que (sauf erreur de ma part) la Suisse n’est pas dans le RGPD, il y a des lois qui s’apparentent au RGPD mais pour une entreprise qui n’est pas en Suisse ça veut dire qu’il faut ajouter des cas particuliers dans nos CGU/CGV pour indiquer à nos utilisateurs/clients que les données « sortent » de l’espace RGPD. C’est aussi vrai à l’inverse. Donc l’offre Infomaniak est à mon sens à prendre en compte pour des … Suisses tout comme l’offre OVH par exemple pour des européens « RGPD ».

Attention hein, c’est la même approche pour tout ce qu’on héberge en mode distant: les données sont confiées à un prestataire en qui il faut avoir confiance.

Donc notre piste est d’auto-héberger notre infra d’i.a. et de permettre à d’autres (partenaires par exemple) de faire de même ainsi ils peuvent se porter garant qu’il n’y a pas d’entourloupe et également assurer à leurs clients que leurs données ne sortent pas de leur périmètre technique (pas de sous traitant « service api i.a. » par exemple).

(je n’ai pas le temps de détailler plus mais j’espère que ces quelques lignes résument assez bien la situation telle que je l’appréhende)

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Hello,

A titre personnel, je n’ai absolument pas besoin qu’une IA fouille mes données, mais je préfèrerais, même pour les requêtes SQL et autres questions moins problèmatique, que les développeurs se tournent vers des solutions plus clean.

A titre d’information, Infomaniak respecte le RGPD même pour l’IA : Infomaniak développe son IA pour améliorer la productivité des entreprises • Infomaniak

Dans tous les cas, la protection des données est généralement plus rigide en Suisse que dans le reste du monde. Ce qui nous a valu quelques mises au pilori international sur les aspects financiers du secret. De plus, la suisse n’est pas dans le RGPD, mais a adopté une loi similaire, le NLPD, qui, me semble-t-il, est parfois plus exigeante, mais tu peux te faire une idée des différebces ici: https://swissprivacy.law/wp-content/uploads/2021/02/20210211-Tableau-comparatif-nLPD-et-RGPD.pdf

De base, la Suisse a toujours été un pays du secreet. Il n’y a pas que le secret bancaire, l’ensemble des données est protégée de manière plus stricte. Un exemple parmi d’autres: un journaliste qui utiliserait des données volées serait poursuivi pour recel.

Le droit suisse, comme sa jurisprudence, est de nature à inspiré confiance puisque, non seulement les données stockées continue dappartenir à leur créateur, généralement l’utilisateur, mais en plus, la responsabilité d’en préserver la confidentialité incombent à la personne morale ou physique qui les stockent, quelques soit le support de stockage. De plus, une personne physique doit être nommé et devra répondre pénalement de toutes divulgation avec des sanctions souvent très lourdes.

Pour le reste, je ne suis pas chaud bouillant à l’idée de permettre à une société externe de consulter ma base de données, mais si d’autres le souhaite, je pense que la solution d’infomaniak sera probablement plus sécure. Et je pense qu’il faut arrêter d’entraîner chatgpt.

A plus

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