Emettre une facture proforma en lieu et place de la facture définitive est contraire à l’esprit de la loi.
La proforma est un document commercial (devis) émis avant la transaction.
Pour corriger une transaction, il suffit d’émettre un avoir et ensuite d’éditer une facture récapitulative.
Tout est prévu en comptabilité standard, l’avoir est une procédure classique.
Il suffi simplement de l’automatiser.
Concernant la certification, la meilleure solution AMHA est d’avoir recours à un système de caisse online, infalsifiable.
Bitcoin est un exemple de système infalsifiables, Il reste à imaginer un système de caisse privée, gérée par un tiers, infalsifiable.
Le gouvernement tente de régler un réel problème ; la fraude fiscale au jour le jour, sur des petites sommes.
Mais ce faisant, il demande aux acteurs privés de mettre en place une solution de contrôle et leur délègue la création de leur propre système.
C’est le retour cyber des « fermiers généraux ». Cela a commencé avec le système française de TVA.
Avec le cyber, on est tous devenus des contrôleurs fiscaux.
Quand je vois ne niveau moyen de compta des entrepreneurs, cela quoi faire frémir …
Quant à l’aspect infalsifiable, qu’on me présente un système informatique infalsifiable …
Je suis passé de Windows à Linux, ensuite de Linux à FreeBSD, et maintenant je migre tout vers OpenBSD à la recherche de ce niveau de « sécurité ».
Récemment, étant à la recherche d’un emploi, j’ai vu passer l’annonce sur Monster.fr d’un job chez L.N.E. pour mettre en place la certification de caisse. MDR: dans le descriptif du job, il fallait être capable de mettre en place les procédures de certification de caisse. Donc eux aussi ne savent pas comment procéder et personne en interne n’a pu répondre. D’où l’offre d’emploi.
Bref, tout le monde se défausse … Et au final, après une longue chaîne de défausses, c’est l’entrepreneur qui prend la responsabilité de tout, comme d’habitude.
Je vois bien comment on pourrait procéder, mais les solutions sont tellement diverses …
Ce qui est certain, c’est que personne ne sait comment arriver à une solution satisfaisante avec un minimum de moyen.
Concernant mon implication dans Dolibarr, ce qui me bloque actuellement, c’est la gestion du projet sous forme de levée de fonds.
Je ne vois pas pourquoi je mettrais en place un système gratuitement, quand d’autres sous-traitent du développement en Afrique du Nord et s’en mettent plein les poches. En d’autres termes, je veux bien bosser gratuitement, mais si tout le monde en fait ainsi.