Le changelog de la v18 de Dolibarr mentionne la possibilité d’assigner des temps consommés à d’autres modules que les projets : « NEW: tables: llx_element_time to store time spent on several elements (mo, ticket…) »
Je suis en train de tester cette nouvelle fonctionnalité sur une v18. Je ne trouve pas comment faire : ni dans la configuration du module, ni dans la création d’un ticket, ni via le module projet en associant une tâche à un ticket.
et le github est très discret quand à tout ça … pour ma part je suis dans l’incapacité de savoir pourquoi ça a été décidé / proposé … je ne sait pas vous ?
Merci de vos éclairages. Ma conclusion c’est donc, "tout ça pour ça " !
Dommage !
J’espérais avoir une ouverture pour rentrer des temps sans nécessairement passer par les taches, ce qui serait approprié à mon activité.
J’ai certainement répondu un peu vite. Alors, voici mes réflexions.
Effectivement, dans la pratique, je crée deux taches : « facturable » et « non facturable ». Mais souvent, je n’ai ni besoin du projet ni encore moins des taches. D’où ma question initiale : comment utiliser les temps consommés en dehors des projets, pour trouver un processus plus simple pour mon activité ?
A réflexion, peut-être que la réponse aurait dû être : noter les temps au niveau d’un tiers (le client ou pourquoi pas le fournisseur, voire même au niveau de la structure qui utilise Dolibarr pour son activité (« mycompany » je crois).
Puis une fois ce temps noté, on décide comment l’affecter :
l’attribuer à un module quelconque de Dolibarr : tout module puisque cela semble être l’objectif dont projet/taches
le facturer avec tout type de service, même forfaitaire (et pas seulement basé sur le temps) ; on pourra alors analyser si le temps passé est cohérent avec le prix du forfait
le marquer comme traité s’il n’a pas été facturé ; on peut, par exemple, souhaiter connaître la répartition de son temps de travail
Ainsi, périodiquement, on filtre ses temps consommés non traités (donc ni facturés ni analysés) pour les traiter selon le besoin. Cela permet d’avoir une courte liste (enfion, en principe) et d’éviter de se poser la question : que dois-je faire de ce temps ?
Gérer le caractère facturable ou non au niveau du temps consommé laisse plus de souplesse d’organisation à mon avis.
Actuellement, on peut indiquer si le projet est facturable ou non. Mais on peut concevoir qu’un projet comporte des taches facturables et d’autres non facturables. On peut aussi concevoir qu’un temps qui initialement devait être facturé, ne le soit pas.