Bonjour à tous,
Un sujet qui me touche particulièrement. Utiliser des solutions open-source c’est bien mais il faut savoir participer aussi. Le financement est une partie importante de l’écosystème.
@+
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Hello,
Évidemment, nous serons tous et toutes d’accord, mais il serait bon aussi de faire pression sur les collectivités pour leur rappeler cet élément. Il n’est pas rare, en Suisse en tout cas, que lorsqu’une administration passe du logiciel propriétaire au libre, elle arrête purement et simplement de payer le fournisseur de logiciel sans jamais proposer de contribution.
Il conviendrait de rappeler cette étrangeté à toutes les occasions (ce que je m’efforce de faire) dès lors que le politique est présent à un évènement (inauguration, foire, réunion d’entreprise, etc).
Bonne journée
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Bonjour,
Le contenu de l’article est alarmiste ou au mieux incomplet.
En Allemagne il y a un fond souverain dont la mission est de financer l’open source.
NGI finance l’open source au niveau européen sur plusieurs thèmes
les projets ayant pour thème la sécurité par exemple sont financés par NGI Assure
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En France cela bouge aussi
https://www.numerique.gouv.fr/sinformer/espace-presse/hack-days-2025/
Il y avait d’ailleurs une conf donnée par Adriana Groh (du fond souverain allemand) le premier jour de ces hackdays.
La suite numérique est open source et financée par la Dinum
@Philazerty en effet c’est un problème historique … le libre et le gratuit.
Bien souvent on observe que la majorité des utilisateurs prennent le gratuit et oublient le libre il n’y a donc aucune autre alternative (si on reste bien dans la zone « libre ») que de communiquer sur ce sujet le risque c’est de passer pour le lourd de service qui ne fait « que » parler pognon alors qu’il ne s’agit bien souvent que de parler de « survie financière » …
L’autre « solution » est souvent de faire du presque libre, du presque ouvert et on sait irrémédiablement ce que ça donne …
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Hello,
C’est l’éternel problème du libre. Sauf que les attentes sont de plus en plus importantes, et les exigences également. Et les utilisateurs finaux ne s’en rendent pas compte.
Alors que consacrer un pourcentage de son chiffre (même plus faible que pour des solutions payantes) à financer le libre n’est pas une absurdité, et je pense que c’est une piste à exploiter. C’est l’idée que j’ai de l’utilisation du libre dans le cadre de mon activité pro.
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Salut,
il y a aussi, toutes ces incitations à passer sur du libre, suite aux changements de Microsoft, avec pour argument, la gratuité.
Les appels au libre devraient inciter aussi à une participation financière.
Histoire d’endiguer cette idée reçue.
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