Dolibarr est derrière la tiquothèque!

Bonjour à tous,

CiTIQUE est un programme de recherche participative qui vise à mieux connaitre et comprendre l’écologie des tiques et des maladies qu’elles transmettent. Pour cela les citoyens sont invités à signaler les piqûres de tiques dont ils sont victimes ou dont sont victimes leurs animaux. Suite au signalement des piqûres, ils sont invités à envoyer les tiques aux chercheurs pour qu’elles constituent une collection de tique : la tiquothèque.

Lancé en juillet 2017, le projet rencontre un franc succès puisque plus de 12 000 utilisateurs avaient téléchargés la première version de l’application et signalés plus de 23 000 piqûres sur la france.

Il nous manquait un outil nous permettant de suivre les signalements et les échantillons envoyés dans la tiquothèque. Cet outil est en place depuis aujourd’hui, ainsi qu’une nouvelle version des applications de signalement (www.citique.fr/android ou www.citique.fr/ios) et devinez quoi ?
C’est dolibarr qui est derrière la tiquothèque !

Comme quoi, on peut faire de la gestion d’entreprise et d’association, ou de la gestion d’échantillons et de données scientifiques !
Merci à dolibarr et à toute la communauté !

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Bonjour
Merci pour cette info.
Cette année, je n’ai pas vu de tiques encore. Pas beaucoup l’occasion d’aller en forêt, non plus.
Quel sont les arguments forts qui ont présider à ce choix ? Intuitivement, je ne vois pas de gestion de tiers, de factures, de compta.

Bonjour,
Votre question est judicieuse. C’est vrai que de prime abord on a pas besoin de dolibarr pour gérer ces éléments. Le programme est porté conjointement par des scientifiques et une association. L’association utilise dolibarr dans son quotidien et l’association en question a pour rôle de mobiliser des bénévoles et de développer des partenariats sur les territoires. Tout cela nécessite un suivi rigoureux des tiers et des contacts que nous pouvons rencontrer. Tout cela a naturellement été fait dans le dolibarr de l’association en question. Il y a énormément de tiers et de contact derrière ce programme (parce que le signalement des piqûes n’en est qu’une action). Vient alors le besoin de gérer les données et les échantillons. On fait le tour de l’existant, on fait faire des devis, on nous propose des supers solutions mais au final rien ne colle. Soit trop cher, soit tordu, soit inadapté, souvent les 3 à la fois.

  • On voulait partir d’open source pour avoir la main sur l’outil
  • On n’avait pas un budget énorme à mettre sur des technos de pointe dont on connait mal l’avenir qui nécessite des connaissances étendues en admin sys et qui coute un bras pour démarrer
  • On voulait quelque chose de stable, facile à développer et à faire évoluer
  • On voulait partir d’un framework qui avait tout le nécessaire au niveau des classes et des méthodes pour développer vite et bien ce que nous avions besoin (objets spécifiques, api, import, export, etc…)
    Dolibarr cochait toutes les cases, une partie de l’équipe savait déjà s’en servir, et le dev n’avait pas à investir du temps d’apprentissage pour démarrer.
    Le choix était fait
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